Pourquoi et comment le mettre en place ?
Le zéro stock consiste à n’avoir aucun stock de ses produits. Avec ce système, il y a une commande pour chaque objet fabriqué. Par conséquent il n’y a pas besoin de local, car aucun produit n’est stocké. C’est un bon moyen d’éviter les invendus. Le zéro stock s’appuie particulièrement sur le dropshipping.
Ce mode de production a le vent en poupe pour les PMI, car le gain de temps et d’argent potentiel est considérable. En ne produisant que des pièces qui se vendent, le temps consacré à la fabrication est optimisé. Mais en cas de forte demande ou d’imprévus, les marges de manœuvre sont réduites.
Le zéro stock permet un gain de place, de temps et d’argent considérable.
On peut se demander si le dropshipping ne va pas disparaître. Cette pratique consiste à vendre des produits qui ne sont pas en stock : ils sont directement commandés au fournisseur. Mais dans certains cas, comme avec Alibaba et AliExpress, les produits sont fabriqués en Asie et mettent des semaines à arriver.
De plus, il est difficile de s’y retrouver financièrement quand les coûts d’incertitude sont élevés. Par exemple, le nombre de commandes qui vont être passées sur un site de dropshipping est presque impossible à prédire. Avec l’augmentation des achats en ligne, le dropshipping a le vent en poupe. Mais c’est un marché difficile et ceux qui sont rentables sont rares.
Voici la to-do list des e-commerçants pour se différencier :
Réussir dans le dropshipping n’est donc pas inné : les internautes sont de plus en plus exigeants sur la qualité des produits et le délai de livraison. Pour perdurer, les entreprises doivent s’adapter aux nouvelles pratiques et bien respecter les règlementations en vigueur.